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1 août 2013 4 01 /08 /août /2013 03:14
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  • 2012: RP
  • 2013: RETOUR AUX ETUDES
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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 01:05

Voici un article sur l'autre visage de l'immigration au canada, focalise sur le Quebec mais dites-vous bien, cette problematique est pareil dans tout le Canada.

Cet article est tire de l'express:

 

http://www.lexpress.fr/actualite/le-quebec-a-besoin-de-travailleurs-qualifies-un-miroir-aux-alouettes_1258001.html

 

Formations ruineuses, bénévolat quasi obligatoire... Loin des publicités qui vendent la Belle province comme un eldorado professionnel, notre contributeur Papanguezwazo livre un témoignage désabusé.

À tous ceux qui ont une activité professionnelle dans leur pays et envisagent de migrer vers le Québec... attention au piège! La tentation est forte quand on entend le chant des sirènes, les campagnes de racolage menées par le MICC (Ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles) pour inciter les travailleurs qualifiés du monde entier à venir s'installer dans la "Belle province".

On ne vous promet rien, mais on ne cesse de vous rappeler que l'on est bien, au Québec: la qualité de vie y est meilleure qu'ailleurs, le coût de la vie l'un des plus bas du monde à Montréal, le système éducatif l'un des meilleurs du monde (rien que ça!). De plus, ne vient pas qui veut: seuls les élus, détenteurs d'un certificat de sélection délivré par le Québec, pourront s'enorgueillir d'avoir été choisis.

La sélection par les bureaucrates ministériels est de plus raisonnée. Chiffres à l'appui sur les perspectives d'évolution du marché de l'emploi, on vous démontrera que vous faites une bonne affaire. C'est l'Amérique, l'un de ces lieux où tous les rêves sont possibles. Vous comprendrez vite que vos chances d'emploi sont réelles et sérieuses, surtout dans un secteur d'activité en demande, le déclin démographique du Québec aidant.

Avant de venir, faites des économies, ne débarquez pas au Québec sans un sous, vous dira-t-on. Quelle que soit la société, il vous faut un minimum d'argent pour repartir de zéro. Mais prévoyez juste de quoi survivre avec votre famille pendant trois mois, le temps pour vous de mettre le pied à l'étrier...


Vos premiers contacts vont vous ramener sur le plancher des vaches

Vos premiers contacts avec les centres communautaires n'auront pourtant d'autre ambition que de vous ramener rapidement sur le plancher des vaches. Après vous avoir fait croire pendant plusieurs mois qu'on avait besoin de gens de votre profil, on nuancera cette assertion. Il faut se faire pragmatique. Parce que voyez-vous, ici c'est l'Amérique, il vous faudra l'apprendre. Ici nous sommes différents, nous avons nos coutumes, notre façon de parler.

En tant que travailleur qualifié retenu pour vos compétences, et l'excellence de votre profil, vous vous la pétez un peu, peut-être. En tout cas, votre surprise sera grande lorsque vous vous entendrez dire, au détour d'un compliment (ici c'est comme ça, on ne dit pas les choses franchement, la révolution tranquille, c'est le fameux consensus québécois) qu'au Québec, nous n'avons pas pour habitude d'embaucher des gens sans diplôme québécois.

Et que les expériences que vous avez pu vous faire ailleurs n'intéressent pas, seule compte l'expérience québécoise. À entendre vos hôtes, seul le contact avec ce peuple élu, vivant à proximité du rétrécissement du Saint-Laurent, à la hauteur du cap Diamant, a le pouvoir de vous apporter l'expérience unique qui va transcender vos aptitudes au travail.

Evidemment, vous ne pouvez pas arriver ici en pays conquis, on ne peut pas vous mettre au dessus des autochtones! Quel pays accepterait de faire passer les personnes issues de l'immigration avant ses citoyens? Ici, on aime les gens qui savent se retrousser les manches. C'est courant, un médecin qui dans ces débuts travaille comme éboueur, le pharmacien qui fait chauffeur de taxi, l'ingénieur concierge, etc.

Alors ne soyez pas trop pressé: il y a des gens qui veulent tout, tout de suite. C'est comme cette chirurgienne algérienne que j'ai rencontrée et qui se demandait où était passé son génie depuis plus de cinq ans. Ou cette Péruvienne titulaire d'un doctorat dans son pays et d'une maîtrise de comptabilité obtenue en France, qui se retrouve à refaire des études secondaires depuis quatre ans. Les études universitaires, pour le moment, elle y a renoncé en raison du coût.

Et oui, il nous faut maintenant mettre la cerise sur le gâteau: au Québec, on aime ceux qui se forment. On n'avait pas insisté la-dessus dans les pubs du MICC, mais si vous voulez, paraît-il, augmenter vos chances d'obtenir un jour la fameuse première expérience québécoise, retournez vous former. Et quand vous prendrez conscience de cette vérité, j'espère pour vous que vous n'aurez pas entamé vos économies de manière excessive.


De travailleur qualifié, vous voilà étudiant, c'est pas beau ça?

Même si vos expériences passées n'ont aucune espèce d'importance, il est émouvant de voir avec quelle facilité on vous accorde des prêts étudiants pour vous aider à financer les listes interminables de cours que vous demandent de suivre les ordres professionnels en tout genre. De travailleur qualifié, vous voilà étudiant, c'est pas "beau" ça? Une session de formation à l'université québécoise vaut le détour. En tout cas celles où vont, en cours du soir, les nouveaux arrivants.

Imaginez la scène, il est six heures du soir, vous êtes au huitième étage d'un gratte-ciel. Vous suivez un cours de droit des affaires. Il y a une blonde, avec les paupières enflées, son fils malade l'a empêchée de dormir. À sa droite, un homme faisant partie des minorités visibles est affalé sur son pupitre, la tête entre les bras. Il a l'air éreinté. À ses pieds, il porte des chaussures de sécurité pleines de boue. Sa sieste durera les trois heures de cours.

Le prof, un petit, maigre, tête dégarnie en forme d'oeuf et nez en bec de corbeau, aime bien la blonde. Il vient la taquiner de temps en temps pendant qu'elle boit sa soupe. Les élèves et le prof se tutoient, c'est super. Il parle beaucoup, avec un bel accent et en plus c'est un avocat.

Tout cela serait sympathique voire cocasse s'il n'y avait pas en perspective des enjeux économiques. Du point de vue de nos hôtes, tout cela est "beau", comme ils disent; vous avez à disposition des ouvriers et des employés de première classe qui ont chacun plus de 18 années de scolarité derrière eux. Ils sont dociles, polis, gentils et prêts à payer pour faire des études, réapprendre et obtenir des diplômes, parce qu'ils pensent que cela leur permettra de s'en sortir plus tard.

Ceux qui vous ont fait venir ont aussi prévu des formations gratuites pour vous: il y en a de toute sorte dont la durée va croissante au fur et à mesure. Elles ont toutes un point commun: vous aidez à intégrer le marché du travail, dont les mots-clés sont CV, lettre de présentation, portefolio, entretien de sélection, réseautage, etc. Il y a même un service d'intégration en ligne, ouah! Avec des podcasts, des vidéos et des technologies de l'information. On vous aime, je vous dis...


Si vous ne pouvez pas placer quelques exemples d'expériences en tant que bénévole, ça ne va pas

Après deux ou trois formations de ce type, vous devenez un expert dans l'art de concevoir un CV à la Québécoise. Mais vous n'avez pas encore trouvé le Graal, souvenez-vous. Alors, tout le monde se met à vous dire que pour les employeurs toutes les expériences comptent, même le bénévolat. Et oui, on aime ça ici, le bénévolat, à tel point que si vous ne pouvez pas placer quelques exemples d'expériences en tant que bénévole, ça ne va pas.

Aussi, la recherche d'un travail bénévole devient un leitmotiv pour vous. Vous vous mettez à postuler car oui, ce n'est pas automatique, il faut mériter pour donner de son temps gratuitement. Que vous et votre famille n'ayez rien à vous mettre sous la dent, ça n'intéresse personne. C'est qu'il y a concurrence en la matière chez les nouveaux arrivants. Et si vous avez la chance de dégoter un poste, vous n'avez qu'à bien vous tenir, comme me l'a indiqué mon amie péruvienne: on ne manquera pas de vous signaler que vous n'êtes pas là pour vous tourner les pouces si vous vous hasardez à arriver en retard.

Ceux qui viennent ne sont pas riches, me direz-vous. Mais comme on vous aime bien, on est prêt à vous prêter la somme qu'il vous manque pour financer ces sacro-saintes études. Je ne saurais trop vous en dire sur cette belle offre, l'ayant pour ma part déclinée, mais l'on m'a averti qu'une telle proposition n'était valable qu'à compter d'un minimum de six cours par session.

La plupart des Maghrébins, Africains ou Latinos que j'ai rencontrés se retrouvent, en moyenne, avec 16 à 18 cours à refaire dans leur spécialité (quand ce n'est pas tout comme en médecine). A raison de 500 dollars le cours pour une session (uniquement les droits d'inscriptions!), je vous laisse faire le calcul pour un étudiant brillant, qui réussirait tout du premier coup.

Rappelons quand même que cet individu devra aussi trouver un emploi, pour survivre avec sa famille, s'il n'est pas tout seul. Il devra trouver du temps, très certainement, pour exercer un travail bénévole. Et l'absence d'expérience dans le pays l'obligera, dans les premières années, à travailler pour pas grand chose. Disons le minimum, environ 10 dollars de l'heure, 40 heures par semaine, s'il a la bénédiction d'être à temps plein. Et comme partout ailleurs, il ne faudra pas rechigner sur les heures supplémentaires non rémunérées. Ici c'est l'Amérique et l'on licencie vite aussi.

Si malgré tous ces obstacles, notre nouvel arrivant parvient à retrouver ses petits dans les cinq ans de son entrée au paradis -passons sur le coût, on ne fait pas d'omelette sans casser d'oeuf- et bien je lui tire mon chapeau. C'est le moins que l'on puisse faire face à tant de mérite.


Faut-il oui ou non répondre aux appels de la méduse?

Alors, me direz-vous, faut-il oui ou non répondre aux appels de la méduse? Si vous êtes sans emploi, issu d'un pays en ruine, où la démocratie civilise avec des canons, comme dit la chanson, alors oui, il est probable que vous ayez intérêt. Quoique dans le même temps, il est fort probable que vous ayez le plus grand mal à obtenir le ticket d'entrée. Paradoxalement, la Gorgone ne donne pas à n'importe qui le droit de venir faire l'aumône chez elle.

Si vous avez un emploi chez vous, une famille, des économies et une vie somme toute normale, vous êtes la cible idéale. Peut-être avez-vous besoin de découvrir un peu plus en profondeur la nature humaine. Si vous voulez mieux vous connaître et, en même temps, faire l'expérience d'une filouterie collective, ça ne tue pas, à condition de le prendre avec le sourire, de ne pas rester pétrifié trop longtemps, et de ne pas se laisser totalement embarqué dans le piège.

Au fond, vous retiendrez aussi que les publicités restent des publicités, où que vous soyez et qui que soit l'annonceur. Parfois, c'est marrant, ça fait rêver aussi. Mais il ne faut pas trop en attendre; elles peuvent servir à vous informer, mais n'ont souvent d'autre ambition que de faire naître chez vous des besoins pour mieux vous vendre des bibelots par la suite.

Si vous avez aussi envie de faire du sport, de marcher des kilomètres à pied sous la neige l'hiver, si chez vous il fait chaud et que vous souhaitez tester votre résistance à la congélation, une telle expérience vous apportera sans conteste de quoi méditer longtemps.

Mais de grâce ne vendez pas tout, ne vous déshabillez pas totalement, laissez-vous une chance au cas où. Quoiqu'on puisse vous dire sur les prétendues opportunités, il vaut mieux attendre de voir rentrer la fortune avant de vendre sa monture. J'ai rencontré beaucoup d'immigrants qui ne comprenaient pas ce qui leur arrivait au début. Puis, après un certain temps, ils avaient le visage déconfit, et enfin tombaient de haut, au bout de trois mois à peine sur le sol québecois.

Des success stories, il y en a, mais n'oubliez pas qu'une hirondelle ne fait pas le printemps. Pour un succès, combien y'a-t-il d'échecs? Les grands communicants du MICC se garderont bien de communiquer là-dessus. Au plus, ce que vous obtiendrez en la matière, ce sont des "on dit", des rumeurs, des lieux communs sur la "Belle province". Aussi, prenez garde au piège!

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 23:55

Coucou,

 

Enfin j'ai recu une reponse pour ma demande d'etudes:

Je suis admise.

Je suis hyper contente, j'espere ainsi pouvoir avancer professionnellement car cMest quasi un passage obligatoire ici car beaucoup d'employeur privilegient les diplomes locaux.

 

La rentree sera le 22 aout 2013 et mes etudes vont durer 3 ans voire 3 ans et demi.

 

Des articles sur la scolarite made in Quebec viendront .

 699581a1-reussir-sa-scolarite-et-ses-etudes.jpg

 

Je vais profiter de mes dernieres vacances.

 

Je n'arrive pas y croire et bonne chance a moi-meme.

 

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23 janvier 2013 3 23 /01 /janvier /2013 02:36

Salut tout le monde,

 

Une nouvelle étape pour mon évolution professionnelle au Canada:  la reprise des etudes car pas mal de diplomes ici ne sont pas reconnus et beaucoup d'immigrants doivent repasser par la case formation/études pour pouvoir soit:

  • Continuer à exercer  leur emploi d'origine,
  • Donner un nouveau souffle dans la carriere pro.

Pour reprendre ces etudes au QUEBEC, il faut passer soit par le SRAM pour les etudes collegiales ou soit par l'universite pour les Etudes superieures.

 

Pour vous inscrire, faites attention aux dates pour faire votre admission car une fois depassee, pas de possibiltes d'inscription.

Il y a deux sessions d'inscription pour la rentree d'Automne et pour la rentree d'Hiver.

 

Pour les etudes collegiales.

Le  SRAM est une institution qui s'occupe des admissions au CEGEP (equivalent du BAC-BTS) pour obtenir un DEC: Diplomes Etudes Collegiales:

soit en diplome technique ou

soit en diplome pré-universitaire.

L'un vous donne les portes de l'emploi et l'autre celui de l'universite.

 

Pour s'inscrire au SRAM, il faut:

  • Avoir un statut legale au Canada, si on est sur place sinon pour ceux hors du Quebec, il faut faire une demande de CAQ au site du ministere du Quebec.
  • Avoir tous vos notes scolaires
  • Vos papiers de CSQ et preuve de RP
  • Avoir tous vos diplomes
  • Les équivalences de diplomes ou sinon c'est la SRAM qui va le faire mais des frais supplementaires seront ajoutes.
  • Une ecole pour une formation, on ne peut pas s'inscrire à plusieurs formations ou ecoles. 

 

Pour les etudes universitaires, il faut se connecter au site de l'université choisi pour y faire son admission et aussi connaitre les modalites d'admission aux cours choisis.

Par contre, je ne connais pas les requetes/actions requises pour s'inscrire.

 

Dans les deux cas, il y a un systeme de 3 tours afin d'avoir 3 chances d'etre admis a un cours mais ce systeme different selon les cours en DEC et  les cours Universitaires.

 

Dans le cas du SRAM:

Comme il est impossible de s'inscrire dans plusieurs formations et ecoles. il est important de choisir son ecole mais si en avril, vous etes refuse il y a possibilites de faire un deuxieme choix selon, les places disponibles du second choix.

 

Dans le cas des etudes universitaires:

Les 3 tours reposent sur les 3 choix d'etudes que vous avez choisi.

 

Puis en avril (pour les inscriptions pour la rentree d'Automne) les 1eres reponses tombent.

 

 

 

canada

 

 

 

 

 

 

 

 

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17 janvier 2013 4 17 /01 /janvier /2013 00:32

Voici mes souhaits pour l'annee 2013:

  • Sante
  • Reussite
  • Prosperite
  • Amour

 

J'espere que l'annee 2013 sera, je l'espere, mon annee:

 

Apres une annee assez difficile moralement : stress dans le traitement de la RP car j'avais mon JP qui s'expirait dans la meme annee donc je vous laisse imaginer l'angoisse de rentrer en France mais aussi, il y avait  d'autres problemes d'ordre personnels.

 

J'espere que 2013 m'ouvrira les portes de certains projets en cours et qu'une fois reussi ou entamer, je partagerai ici.

 

Sinon je prevois pour cet été: 

 

  • D'ALLER (ENFIN) AU YUKON. Mes attentes sont enormes ainsi je serai fixee sur mon choix de vouloir partir y vivre , une fois les etudes faites.
  • Un autre lieu meconnu du Canada (si les moyens me le permettent) TERRE NEUVE ET LABRADOR. Je ferai un tour chez les "Newfi" avec leur anglais "bizarre" car j'ai besoin de me depayser; sortir de la civilisation.

BONNE ANNEE

En esperant que vos projets aboutisseront

canada

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8 août 2012 3 08 /08 /août /2012 01:31

Je suis residente permanente du Canada depuis le 10 juillet 2012, je suis encore en reflexion sur mon avenir mais je vois maintenant un peu plus "la lumiere", je compte reprendre mes etudes pour me permettre d'avoir une reconnaissance diplomante "locale" et me donner plus de chances d'etre embauchee car il faut savoir une chose tres importante pour les futurs immigrantes et neo-immigrants:

 

Certains de nos diplomes ne sont pas reconnus et cela engendre pas mal de probleme d'embauche, de stress, de frustation; nous sommes selectionnes pour nos qualifications et quand nous arrivons ici nos X annees d'experiences pro dans nos pays d'origine ne valent rien et nous devons tout reprendre a zero mais dans certains cas, une mise à jour par une formation qualifiante peut permettre a occuper nos emplois respectifs mais dans certains cas, il faut  reprendre les etudes à 0 et il y aussi les metiers appartenant à un ordre.

Exemple: ingenieurs, medecins, infirmiers....

 

Pour revenir à mon cas:

 

Je suis secretaire medicale et je travaille dans un grand hopital et je veux me donner des chances de reussir mon avenir ainsi que mon immigration pour se faire je dois reprendre mes etudes..

Quelques semaines avant mon entretien de CSQ, j'ai effectue une equivalence de tous mes diplomes et certains ont ete reconnus et d'autres non, l'essentiel c'est que mon bac francais soit reconnu;

Ici au Quebec j'ai un Diplome d'Etudes Collegiales (DEC) PRE-UNIVERSITAIRE  

ATTENTION car il y a un autre DEC mais TECHNIQUE,  ils sont differents; l'un permet d'aller a la FAC et l'autre vous ouvre les portes du travail.

 

J'hesitais beaucoup entre aller au CEGEP (l'equivalent du BTS en France) ou aller à la faculte car mon principal diplome est reconnu et me permet d'aller m'insrire dans ces deux types de scolarité. ayant deja un DEC pre -universitaire, je me revoyais pas refaire un autre DEC donc je vais aller à la FAC pour obtenir un BAC (equivalent d'une license en France)

 

Autre point avantageuse pour moi, je suis francaise et au Quebec, les etudiants et residents francais: nos diplomes sont reconnus et nous payons les memes frais que les Quebecois contrairement aux autres etrangers.

 

Donc, j'espere  retourner sur les bancs de l'ecole pour l'hiver prochain (janvier 2013). J'ai deja choisi mes facs pour m'inscrire mais les ouvertures se feront dans qq jours, une fois adminse je parlerai plus amplement de mes prochaines etudes.

 

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 04:59

Pour le prochain appart:

 

Mon rituel c'est de changer de tapis.

  • Tapis de bain
  • Tapis d'entree
  • Nouveau meuble pour rangement de salle de bain ----> IKEA
  • Aspirateur de bonne qualite ------> Canadian Tire/Walmart
  • Table basse X 2-3 --------> IKEA ou walmart (tout va dependre du prix)
  • 3 chaises -----------> Target/Walmart/IKEA  (tout va dependre du prix)
  • Meuble à télé -------------> IKEA
  • Griffe à chat  OUI J'AI UN COMPAGNON A POILS DEPUIS AOUT (je ferai une petite presentation de mon chat            -------------> animalerie 

 

Des l'obtention de ma RP, je pourrrai enfin reellement meuble mon appart avec :

  • Une tele 
  • Un lecteur de DVD multi-zone car jM'ai laisse une enorme collection en France que je recupererai a mon prochain passage.
  • Un fer à repasser CANADIEN car celui que j'ai, est francais
  • Une planche a repasser Oui je repasse mes fringues en mode deche depuis deux ans cad sur le lit.
  • pas mal de déco.

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 02:35

Voila, 

je suis en train de patienter en attendant la reponse de l'ambassade en ce qui concerne ma résidence permanente, 

je suis decison prise depuis le 25 mai 2012 et mon ancienne adresse apparait sur mon e-cas (suivi electronique du dossier de RP), ce qui prouve que le cic fait reellement une enquete,  par mail je leur ai fait comprendre que l'adresse est erronee etc....

 

Je suis depuis ce jour en train de reflechir de ce que je compte faire apres la RP obtenue et validee. je pense reprendre mes etudes afin d'occuper un emploi qui me permettrait de pouvoir bouger par la suite hors du Quebec.

 

Je croise les doigts pour recevoir ma CRP ( pour les francais traites sur Paris plus de brune ou e-brune) mais un courrier de l'ambassade de Paris, qui vous dit que vous pouvez vous presenter à un point de douane canadienne pour activer la residence permanente.

Pour moi, tout depend du delai de reception du courrier, ca sera un RV dans les bureaux du cic je n'ai pas du tout envie de faire le tour du poteau, mais le RDV au bureau d'immigration prend malheureusement un delai d'1 mois pmais j'economise des sous et je laisse mes amis et la famille tranquiille. Apres c'est presque la liberte , une STABILITE de travailler pour qui je souhaite et reprendre ces etudes, avoir du carte de credit, meubler son appart rellement SURTOUT FAIRE DES PROJETS PLUS CONCRETS.

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